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1714. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Mémoires du général La Fayette (1838.) »

Ces réserves que je pose, je ne me permets de les appliquer à La Fayette lui-même qu’avec réserve.

1715. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

Leurs pieds sont scellés l’un contre l’autre ; leurs bras descendent à angle droit sur leur corps où ils adhèrent ; leurs mains se touchent, posées sur leurs genoux serrés.

1716. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Première série

En même temps un elkovan (oiseau du pays) vient se poser sur sa main, et il croit que c’est l’âme de son amie. […] Il semble nager sur les vagues de la terre, s’abaisser pour se relever dans le roulis des mouvements du globe, tandis que les nuages floconneux, posés sur le monstre, l’entourent d’écume soulevée41. […] Il leur faut pour témoin, dans les heures d’étude, Une âme qu’autour d’eux ils sentent se poser ;   Il leur faut une solitude   Où voltige un baiser… Sans elle, le « petit Chose » aurait peut-être continué toute sa vie d’écrire çà et là sur des coins de table d’exquises et brèves fantaisies : elle le forcerait à travailler sans qu’il s’en aperçût et lui ferait écrire de beaux livres.

1717. (1920) Impressions de théâtre. Onzième série

Mais le vieux prie… et, tout à coup, l’hostie vient, d’elle-même, se poser sur ses lèvres. […] J’ai reçu deux autres lettres fort intéressantes à des titres divers et qui me permettront peut-être d’élargir la question ou, plus exactement, de la mieux poser. […] Mais je sais d’autres théâtres où les ouvreuses ont l’aspect négatif de ces bureaucrates sournois dont le plaisir essentiel est de faire poser le public, où il faut attendre un quart d’heure et, au milieu des objurgations, pratiquer soi-même des fouilles dans l’amas des pardessus et des parapluies pour retrouver son bien.

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