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999. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Seconde Partie. De l’Éloquence. — Éloquence en général. » pp. 177-192

Dans une lettre de vingt-sept pages, publiée en 1727, il donna son apologie, avec le portrait peu ressemblant de Rollin, qu’il y avoit mis.

1000. (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682

Lorsqu’il a raillé les hommes sur leurs défauts, il leur a appris à s’en corriger, et nous verrions peut-être encore aujourd’hui régner les mêmes sottises qu’il a condamnées, si les portraits qu’il a fait d’après nature, n’avaient été autant de miroirs dans lesquels ceux qu’il a joués se sont reconnus.

1001. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Pélisson et d’Olivet »

La Bruyère, on s’en souvient, niait que ses Caractères fussent des portraits, et Saint-Simon, insolent pour demain, gardait sous clef ses Mémoires.

1002. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « Léopold Ranke » pp. 1-14

Comment le reconnaître dans cette dernière histoire, sans marquants détails personnels sur personne, et où les portraits ne sont que des lieux communs en grisaille ; dans ce livre à dix mille pieds au-dessus du niveau de la mer… et des faits, qui a la fatuité de renfermer en un demi-volume toute l’Histoire de France, depuis Mérovée jusqu’à François Ier !

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