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232. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 271

Des Tableaux trop hardis, au sujet du Calvinisme, dans son Abrégé de l’Histoire de Nîmes, qui n’est qu’une compilation, ne devoient pas paroître non plus un titre suffisant pour le placer parmi les Ecrivains célebres, dans le nouveau Dictionnaire historique.

233. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Casanove »

Le pouce de Loutherbourg y manque ; je veux dire cette manière de faire longue, pénible, forte et hardie qui consiste à placer des épaisseurs de couleurs sur d’autres qui semblent percer à travers, et qui leur servaient comme de réserves.

234. (1864) Corneille, Shakespeare et Goethe : étude sur l’influence anglo-germanique en France au XIXe siècle pp. -311

Comme critique philosophe il s’était placé, l’un des premiers en France, à un point de vue cosmopolite jusqu’alors à peine entrevu. […] Il est impossible, vous l’avouerez, de se placer plus complètement à côté de la question. […] Baudelaire veut-il dire que Victor Hugo excelle dans la perspective aérienne, dans l’art de placer chaque objet à son plan ? […] C’était un nouveau genre qu’il inventait, et qu’on pouvait placer à côté de la comédie bourgeoise de La Chaussée ou de Diderot. […] Cette fois c’était l’amour le plus pur qu’il plaçait dans le cœur d’une femme galante.

235. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Appendice. »

Si la scène eût été placée dans les Gaules, j’aurais mis un hibou, un loup ou un renard. […] « Dans l’article publié par vous, monsieur, dans le tome I des Causeries du Lundi sur le Père Lacordaire orateur, je lis ce qui suit à propos de la paix dont il jouit à Saint-Sulpice : — « Je pourrais citer de lui là-dessus des pages char-« mantes, poétiques, écrites pour un ami et placées dans un « livre où l’on ne s’aviserait guère de les démêler. » « Ce sont ces pages, monsieur, que j’aimerais à connaître et vous m’obligeriez beaucoup de m’indiquer le livre où elles se trouvent. […] Dourdain, homme modeste, instruit, ancien barbiste, ancien secrétaire du vieux et respectable comte de Ségur, et qui, placé à la recommandation de son fils, le général Philippe de Ségur, dans les bureaux du ministère de l’intérieur, a toujours et obstinément refusé tout avancement. […] Pons, ancien professeur de rhétorique, professeur d’histoire, et qui maintenant est placé à ce titre au lycée de Digne, sa patrie.

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