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1029. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Abailard et Héloïse »

On n’y trouverait pas, par exemple, l’insolente apologétique de Béranger, l’écolâtre, contre saint Bernard, l’illustre défenseur de l’Église ; et si on l’y avait placée, on n’y aurait pas, du moins, soigneusement oublié, comme on l’a fait, les lettres de ce même saint Bernard, qui fut l’arbitre suprême et obéi dans une querelle dont on raconte l’histoire, en l’oubliant !

1030. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Nelson »

Avec cette profondeur de tendresse qui lui fut sa Fatalité, avec sa rêverie amoureuse de la mort, même dans la vie la plus intense de sa gloire, avec cette fantaisie si noire qui plaça de si bonne heure dans sa chambre le cercueil où il se rêvait et coupa, dans le combat même, sur la tête d’un ami, des cheveux pour en tapisser ce cercueil, Nelson, le Mélancolique intrépide, est bien du pays de Shakespeare et méritait, certes !

1031. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Collé »

Placé entre son admiration, dix fois exprimée dans son livre, pour les hommes et les choses de ce temps, et son goût et sa position d’éditeur de Collé, M. 

1032. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Valmiki »

Opinion aussi étrange, si le fanatisme du traducteur ne l’expliquait pas, que celle qui placerait comme œuvre d’art l’idole de Jagrenat au-dessus du Jupiter de Phidias !

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