Le premier est une grande composition de sept pieds six pouces de haut sur six pieds, trois pouces de large. […] Un Amour élevé sur la pointe du pied, placé entre ces deux dernières et tournant le dos au spectateur, conduit de la main une guirlande, qui passe sur les fesses de celle qu’on voit par le dos, et va cacher, en remontant, les parties naturelles de celle qui se présente de face. […] Placez un linge entre la main de la Venus de Médicis, et la partie de son corps que cette main veut me dérober, et vous aurez fait d’une Venus pudique une Venus lascive, à moins que ce linge ne descende jusqu’aux pieds de la figure. […] C’est un petit tableau de trois pieds, huit pouces de large, sur deux pieds, sept pouces de haut. […] On a versé crûment sur un espace de quatre pieds toutes les vessies d’un marchand de couleurs.
La tête d’Euridice est sotte, ses pieds et ses mains sont mal dessinés ; mais la couleur de toute la figure fait plaisir. Les pieds et les mains des autres figures sont aussi mal dessinés ; mais qui est-ce qui se donne aujourd’hui la peine de finir ces parties ? […] Cette composition a dix-sept pieds, huit pouces de large, sur onze pieds de haut. […] C’est une autre composition de seize pieds, seize pouces de large sur neuf pieds de haut. […] Tableau de sept pieds, sept pouces de haut, sur neuf pieds de large.
Un seul de ces moellons de Balbek avait soixante-deux pieds de long sur vingt-quatre pieds de largeur, et seize pieds d’épaisseur. […] Au-delà de ces écumes de débris qui forment de véritables dunes de marbre, la colline de Balbek, plate-forme de mille pas de long, de sept cents pieds de large, toute bâtie de mains d’hommes, en pierres de taille, dont quelques-unes ont cinquante à soixante pieds de longueur sur vingt à vingt-deux d’élévation, mais la plupart de quinze à trente ; cette colline de granit taillé se présentait à nous, par son extrémité orientale, avec ses bases profondes et ses revêtements incommensurables, où trois morceaux de granit forment cent quatre-vingts pieds de développement, et près de quatre mille pieds de surface, avec les larges embouchures de ses voûtes souterraines où l’eau de la rivière s’engouffrait en bondissant, où le vent jetait avec l’eau des murmures semblables aux volées lointaines des grandes cloches de nos cathédrales. […] Une petite ogive de pierre s’élevait d’un ou deux pieds au-dessus de la plate-forme qui servait de toit à cette masure, et une petite cloche semblable à celle que l’on peint sur la grotte des hermites y tremblait aux bouffées du vent. […] La vallée s’abaissait d’abord par des pentes larges et douces du pied des neiges et des cèdres qui formaient une tache noire sur ces neiges ; là elle se déroulait sur des pelouses d’un vert jaune et tendre comme celui des hautes croupes du Jura ou des Alpes, et une multitude de filets d’eau écumante sortis çà et là du pied des neiges fondantes sillonnaient ces pentes gazonnées et venaient se réunir en une seule masse de flots et d’écume au pied du premier gradin de rochers. […] On n’apercevait que la porte surmontée d’une ogive vide où pendait la cloche, et quelques petites terrasses taillées sous la voûte même du roc où les moines vieux et infirmes venaient respirer l’air et voir un peu de soleil, partout où le pied de l’homme pouvait atteindre.
Sous ses pieds, des chevaux ; autour de ces combattans, des morts, des mourans. […] Au pied de ce rocher, un voyageur conduit un cheval chargé de bagage. […] Sur cette roche des arbres ; au pied le pâtre assis. […] Au pied de ce poteau, paniers et ustensiles. […] Au pied de ce poteau, pâtre endormi, son chien à ses pieds.