Dans un temps où notre pays est infesté de tant de fausses doctrines mortelles aux vraies méthodes, et traversé d’un détestable esprit où les charlatanismes et les timidités se combinent, sachons au moins les noms de ceux qui forment l’élite scientifique et philosophique, qui marchent à l’avant-garde de la pensée et demeurent l’espoir de l’avenir.
Il avait pour lui, comme on disait, « tous les gens qui aiment le bien. » Le parti philosophique, qui le comptait pour adversaire, n’était pas fâché de lui couper l’herbe sous le pied.
Je me contenterai d’indiquer une Anecdote sur Louis XV racontée par Sélis et qui se trouve dans la Décade philosophique du 6 septembre 1797.
Marie-Joseph Chénier n’a pas craint d’appeler cet ouvrage a un monument de gloire littéraire où tous les charmes du style embellissent les idées philosophiques. » Il ne se pouvait de plus digne testament de cette féconde et illustre législature.