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2000. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434

Son père, le comédien Monvel, était un vrai comédien, un peu philosophe, un peu poète.

2001. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Granier de Cassagnac » pp. 277-345

Tout le monde était impie et philosophe ; il était respectueux envers le Pape et il avait obtenu un asile à Rome pour les pauvres prêtres émigrés.

2002. (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Appendices » pp. 235-309

. — Mon ami, le philosophe Maurice Millioud, m’écrit à ce sujet : « Le mot n’est pas dans Platon.

2003. (1890) Dramaturges et romanciers

Parce que la vérité, même repoussante, a sur l’homme un souverain empire ; parce que, de tous les sujets d’étude, le plus intéressant pour l’homme, c’est l’homme, même lorsqu’il est abject, et qu’il ne mérite pas un seul regard de l’artiste, une seule minute de l’attention du philosophe. […] Feuillet serait un grand philosophe de l’amour, et s’il pourrait nous donner une métaphysique médicale de cette importante maladie morale ; ce qui est certain, c’est qu’il est un praticien très habile, et qu’il s’entend à merveille à diagnostiquer les affections du cœur. […] Cherbuliez a donc prêché par son propre exemple les doctrines qu’il a exposées dans son Grand Œuvre ; aussi avons-nous l’entière confiance qu’il continuera de nous démontrer par ses prochains livres la vérité de la théorie du progrès à la manière de ce philosophe antique qui, pour démontrer la réalité du mouvement, se prit à marcher devant ses interlocuteurs. […] Ce que le philosophe a de mieux à faire avec elles, c’est de laisser dormir son esthétique, qu’il ne pourrait vraiment leur appliquer qu’avec artifice et à la sueur de sa volonté.

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