/ 2350
601. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome III pp. -

L’Histoire du peuple de Dieu porte, d’un bout à l’autre, sur eux. […] La peinture fait remonter son origine à ces mêmes peuples. […] Il s’acquit une grande réputation par son tableau sur le peuple d’Athènes. […] Le peuple, & le peuple même le moins fait pour connoître de ces sortes de contestations, adopta les mêmes sentimens, & regarda ces pères comme des monstres : mais la cour pensa différemment. […] Mais le peuple n’écoutoit que sa haine, & les voyoit toujours un poignard à la main.

602. (1895) Nouveaux essais sur la littérature contemporaine

Renan lui-même que l’on parlât plutôt de l’Histoire du peuple d’Israël. […] Abraham, l’ancêtre fictif de ces peuples, a été réellement le père religieux de tous les peuples. » Les deux volumes parus de l’Histoire du peuple d’Israël ne sont que le développement et la démonstration de cette idée. […] Et Bossuet enfin considérait l’histoire du peuple de Dieu comme une histoire « miraculeuse », tandis que, pour M.  […] Comment naît un peuple ? […] Gumplowicz, diffère-t-elle essentiellement de celle de peuple ou de nation, par exemple ?

603. (1817) Cours analytique de littérature générale. Tome III pp. 5-336

Mars a nagé, sous nos yeux, dans le sang des peuples. […] il unit à ce principal objet une leçon animée contre la discorde, également fatale aux princes et aux peuples. […] « Mais du peuple amassé quel guerrier fend la presse ? […] Entre les Germains et nous, qui des deux peuples dut se rapprocher le plus de la perfection ? […] Je supposai donc un peuple antérieur aux autres, et le plaçai dans l’île Atlantide, dont la submersion précède toutes les annales.

604. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Épilogue »

Je ne crois pas qu’il y en ait de plus honteuse que celle d’un peuple qui fut mâle et qui va mourir en proie aux femelles de son espèce… Rome mourut en proie aux Gladiateurs ; la Grèce, aux Sophistes ; Byzance, aux Eunuques : mais les Eunuques sont encore des débris d’hommes. Il peut rester à ces mutilés une tête virile, comme celle de Narsès, tandis que nous, nous mourons en proie aux femmes, et émasculés par elles, pour être mieux en égalité avec elles… Beaucoup de peuples sont morts pourris par des courtisanes, mais les courtisanes sont dans la nature et les Bas-bleus n’y sont pas !

/ 2350