Un rhéteur moderne, le père Porée, très respectable d’ailleurs par ses qualités personnelles, mais à qui nous ne devons que la vérité, puisqu’il n’est plus, est le premier qui ait osé se faire un jargon bien différent de la langue que parlaient autrefois les Hersan, les Marin, les Grenan, les Comire, les Cossart et les Jouvenci, et que parlent encore quelques professeurs célèbres de l’Université.
Elle a des dons personnels prodigieux, mais aussi tous les défauts de son sexe et de son temps : de son temps, de son heure, de sa minute… * Thabaut de Latouche, ou simplement Delatouche, comme écrit George Sand, inspirait la crainte, étant caustique et sans cesse de mauvaise humeur. […] En écoutant ces propos divers, quelques phrases d’un discours de Démosthène me vinrent à la mémoire : « Quand on a commis une lâcheté, il n’est pas possible de séduire tout un peuple et on se trouve humilié par ceux qui font de justes reproches comme par ceux qui prennent seulement plaisir à les entendre. » Mais tout à coup, je me rappelai également ce que dit Stendhal dans sa Vie de Napoléon : « Je sais que lorsque l’on n’a pas une connaissance personnelle de tout ce qui se passait dans une armée, il est téméraire de blâmer un général de ne pas avoir osé entreprendre telle marche ou telle manœuvre qui, de loin, semble facile. » … Les jeunes filles se répandent à travers le jardin ; en cueillant des bouquets, elles folâtrent.
Ce n’est pas que, portraitiste, il sacrifie à d’autres soucis le personnage et l’utilise à des fins personnelles. […] Cet individu, appelons-le Homère : sans lui, Hélène n’aurait manqué à son devoir que pour son agrément personnel et peu durable.
., mais tellement acrimonieux et personnel, que le Journal de Paris, qui, par la plume de M. de Villeterque, avait jugé le roman avec assez de sévérité, surtout au point de vue moral, ne put s’empêcher de s’étonner qu’un article écrit de ce style se trouvât dans le Mercure, à côté d’un morceau signé de La Harpe, et sous la lettre initiale d’un nom cher aux amis du goût et de la décence.