De tels crimes repugnent tellement aux coeurs qui ne sont pas entierement dépravez, qu’il ne suffit point d’avoir perdu quelque chose de la liberté de son esprit pour les commettre, sans devenir un scelerat odieux.
C’est à eux qu’il est reservé de faire une alliance du merveilleux et du vrai-semblable, où l’un et l’autre ne perdent pas leurs droits.
Voilà ce que nous demandons au lecteur de bien vouloir ne pas perdre de vue.
(Le bruit des derniers vers se perd dans la brise marine.)