Wordsworth pense avec Akenside, dont il prend le mot pour devise, que « le poëte est sur terre pour revêtir par le langage et par le nombre tout ce que l’âme aime et admire ; » et Lamartine nous dit quelque part en son Voyage d’Orient :« Je ne veux voir que ce que Dieu et l’homme ont fait beau ; la beauté présente, réelle, palpable, parlant à l’œil et à l’âme, et non la beauté de lieu et d’époque.
Les demoiselles ont commencé par m’éplucher (madame Lavaux me l’avait prédit) ; elles m’ont d’abord fait mille questions, auxquelles j’ai répondu avec une justesse qui m’étonne quand j’y pense.
Qui n’a pas pensé, en voyant Alexandre sous ces grands étendards, à toutes les victoires de la foi, à toutes les leçons de la charité ?
Sire, nous vous demandons que cela soit ainsi, parce que cela est juste… Si nous osions, nous entreprendrions de planter quelques vignes sur les coteaux ; mais nous sommes si tourmentés par les commis aux aides, que nous penserions plutôt à arracher celles qui sont plantées ; tout le vin que nous ferions serait pour eux, et il ne nous resterait que la peine.