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810. (1824) Notice sur la vie et les écrits de Chamfort pp. -

Ses contes, où la science des mœurs était, comme dans la société, revêtue d’expressions spirituellement décentes, devinrent une galerie de portraits frappants de ressemblance ; et dans ses tableaux malins, piquants et variés, le peintre habile eut l’art d’amuser surtout ses modèles.

811. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre premier. Mme de Staël »

Mais pour les peintres et les sculpteurs, et les connaisseurs en beauté, elle ne l’était pas et rien ne pouvait diminuer ou voiler la femme en elle, car la femme déborde de tout l’ensemble vivant et robuste de Mme de Staël !

812. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « La Chine »

Mais c’était un Jacquemont supérieur au Jacquemont des Indes de toute la supériorité d’un peintre, d’un artiste, sur un philosophe et un bourgeois de la rue Saint-Denis, qui habite et parcourt les Indes comme le plongeur habite la mer, sous une cloche de verre, la tête éternellement recouverte de son bonnet de soie noire et d’un dôme de préjugés voltairiens.

813. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Joubert » pp. 185-199

cette chose nécessaire pour un peintre, que rien ne saurait remplacer), Joubert est moins dans cette notice douceâtre d’un neveu rangé et très flatté, et qui met son oncle sur sa poitrine comme une décoration, que sous la facette et l’angle du mot vif, irrévérent et moqueur de madame Victorine de Châtenay, cité dans les Mémoires de Chateaubriand : « M. 

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