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815. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 145-150

Le Peintre étoit un sot, dont l’amoureux caprice Nous peignit Cupidon un enfant sans malice, Garni d’arcs & de traits, mais nud d’acoustremens.

816. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 303-308

Traduire avec autant de force que d’exactitude les Auteurs Grecs & Latins, analyser avec clarté & précision les Peres de l’Eglise, présenter avec une simplicité éloquente la substance des décisions des Conciles, raconter les événemens, ou plutôt les peindre de manière que le Lecteur croit en être témoin ; tel est le résultat du travail de M. l’Abbé Fleury.

817. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 192-197

Peindre ainsi la Renommée, Nymphe qui jamais ne sommeilles, Et dont les messagers divers En un moment sont aux oreilles Des peuples de tout l’Univers.

818. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 122-127

Ronsard, pour le peindre en deux mots, avoit les principales qualités qui font les grands Poëtes, la force & le brillant de l'imagination, la fécondité de l'esprit, les agrémens de la fiction, cette invention heureuse, l'ame de la Poésie.

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