Il a parcouru tous les pays, visité les musées, dévoré les bibliothèques.
Dès le 14 septembre 1676, madame de Sévigné écrivait à sa fille : « On prétend qu’elle n’est plus ce qu’elle était, et qu’il ne faut plus compter sur aucune bonne tête, puisque celle-là n’a pu soutenir le tourbillon de ce bon pays.
Outre ces couleurs affreuses dont on peignoit le duc dans la parodie, on y traita sa sœur indignement : Une sœur vagabonde, aux crins plus noirs que blonds, Va dans toutes les cours montrer ses deux tetons, Dont, malgré son pays, son frère est idolâtre.
Castillon, sont les auteurs de cet ouvrage, auquel on fait en France, comme dans les pays étrangers, un accueil très-favorable.