On y verrait, entre autres, que ce pauvre Gérard de Nerval a été conduit à une mort tragique par le réalisme. […] On a pitié de sa peine, et on voudrait aider le pauvre homme à se tirer de la fausse position où il s’est fourvoyé. […] Et ce pauvre Léopold Robert ! […] Qu’on juge par là combien est artificielle et à la surface, la vie artistique et littéraire dans notre pauvre France. […] Pauvre idéalisme !
La pauvre Jane Grey était parfois « si misérablement bousculée, frappée, pincée, et maltraitée encore en d’autres façons qu’elle n’ose rapporter », qu’elle se souhaitait morte. […] Ses habits et son épée furent vendus trois shillings, et les pauvres gens payèrent les frais d’enterrement : quatre shillings pour le linceul, et six shillings quatre pence pour le convoi. […] — Dans quelle ombre, dans quel profond puits d’obscurité vit cette pauvre humanité craintive ! […] seigneur. — Avez-vous bien le courage, pour une pauvre stérile louange que vous n’entendrez jamais, de renoncer à ces chères espérances ? […] Dans toute mémoire désormais, le nom de Penthéa, de la pauvre Penthéa, est sali… Pardonnez-moi, oh !
Il me représente la première, s’annonçant comme un succès, il me parle de 140 fauteuils d’orchestre déjà loués hier, puis il me peint la désolation des femmes jouant dans la pièce, la désolation de cette pauvre Nau, qui n’était pas venue à la première répétition, et à laquelle on annonçait dans le décor de La Fille Élisa, que c’était la Mort du duc d’Enghien qu’on allait y répéter. […] ce pauvre Nord est-il battu en ce moment par le Midi ! […] Le pauvre garçon n’a pas hérité. […] Un jour que Dumas l’avait fait appeler, se croyant souffrant, et qu’il était au lit, on introduisait un pauvre journaliste nécessiteux de Marseille, qui venait lui demander des recommandations pour des journaux de Paris. […] les cochons, que ces gouvernants qui travaillent à tuer la foi chez ces pauvres diablesses, auxquelles ils n’assurent pas le paradis sur la terre, et dont ils se fichent pas mal avec leur fraternité, écrite en grosses lettres, sur la pierre de leurs ministères.
Pauvre mère, une vie de douleur et de malheur ! […] voici la pauvre bête, dans sa souffrance ayant besoin qu’on soit près d’elle, et elle vous suit de ses deux grands yeux tristes, quand on s’éloigne, et elle vous salue d’un petit miaulement, quand on revient, et elle vous remercie de votre caresse, par un petit ronronnement tout doux. […] L’enfant tendre, à l’intelligence paresseuse, que j’ai peint sous le nom de Pierre-Charles, était mort d’une méningite, avant le départ de sa mère pour l’Italie, et sur ce pauvre et intéressant enfant, présentant un sujet neuf, sous la plume d’un romancier, j’ai fait peser le brisement de cœur et les souffrances morales de son frère cadet, pendant la folie religieuse de sa mère. […] » Cette pauvre Réjane, qui a déjà répété ce matin, qui répète ce soir en costume, est éreintée, morte. […] que des confrères placent dans la famille des Gautier, des Saint-Victor, et qui, mort ou vivant, le jour, où il n’occupera plus le rez-de-chaussée du Temps, peut s’attendre à être traité de bas scribe, et de pauvre plumitif dramatique.