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1380. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Louis XIV. Quinze ans de règne »

Cela dit, et lui parti avec une si pauvre conception de l’Histoire, nous avouerons de fort bonne grâce qu’il va très bien.

1381. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Histoire de la Révolution »

Sans doute un homme est ce qu’il est, et la critique, qui examine l’Histoire des soixante ans d’un point de vue exclusivement littéraire, n’a pas la prétention de carrer la tête de Castille et de la lui faire autre qu’il ne l’a, mais, fataliste, — par parti pris ou par cette adhésion de l’esprit à laquelle Malebranche, ce pauvre diable de génie qui faisait là une pauvre diablesse de définition, reconnaissait la vérité et aurait pu tout aussi bien reconnaître l’erreur, — mais, fataliste, puisqu’il l’est, pourquoi Hippolyte Castille n’a-t-il pas le style de sa pensée ?

1382. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « La Femme au XVIIIe siècle » pp. 309-323

On l’y trouverait, indécis et charmant comme tout ce qui commence, — comme on retrouve un joli enfant dans le vilain homme que ce pauvre enfant est devenu.

1383. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « Th. Carlyle » pp. 243-258

: « l’incompréhensible », dans cette Histoire de la Révolution française où il le rencontre, à la suite de ce pauvre Pharaon de duc de Brunswick, noyé dans une Mer Rouge de crotte ; badaud à cheval qui badaudait avec le canon, curieux du vent du boulet et de l’impression qu’il faisait sur les intestins.

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