Elle lui répondit la lettre suivante, le 15 novembre : « Ne vous alarmez pas de ma dévotion, mon pauvre abbé ; rassurez l’hôtel de Richelieu ; on n’oublie pas dans la solitude des amis à qui l’on en doit tous les agréments.
Elle en sortit indignée des traits que celle-ci lança de haut en bas sur la pauvre Jo (nom sous lequel madame de Sévigné désigne madame de Ludres).
Si les hommes sont pauvres, le souverain ne protège que des malheureux ; s’ils sont valétudinaires, il ne garde que des malades.
Il faut autre chose que cela dans un pauvre temps comme le nôtre, qui n’a plus ni la religion des principes ni les principes de la religion.