Il faut en prendre son parti : l’auteur de Paul et Virginie est un grand peintre.
Si des passions de parti, si des animosités de coterie tachent çà et là les récits de ce gazetier à la petite semaine, elles n’animent jamais sa curiosité qui reste badaude, et ne lui donnent même pas l’aiguillon du taon que la haine, quand elle est vive, sait mettre dans la médisance.
Renée prit le seul parti qu’il y eût à prendre.
Les plus vénérés, les plus purs, avaient été de son parti.