Mme de La Vallière, âgée de dix-sept ans, n’y paraissait d’abord que comme « fort jolie, fort douce et fort naïve ». […] Cette dernière fut particulièrement une de celles que le roi s’était choisies pour en paraître amoureux. […] Il y avait eu, au mardi gras de 1671, un bal à la Cour, où elle ne parut point ; on apprit qu’elle était allée se réfugier dans le couvent de Sainte-Marie à Chaillot. […] Cette phrase a paru trop forte pour être de Mme de La Vallière. […] La Vallière me parut fort jolie, et avec plus d’embonpoint qu’on ne me l’avait figuré.
Il paraît qu’elle était, du côté paternel, héritière de biens considérables. […] Comme je suis né simple par goût et peut-être par nécessité, je ne voulus point paraître complice d’un tel travers et je pris congé d’elle. […] Ses petits écrits parurent de son vivant et d’abord sans sa participation, bien que, par le soin extrême de rédaction qu’elle y avait mis, elle semble avoir eu en vue le public. […] Les conseils à son fils parurent pour la première fois en 1726 dans les Mémoires de littérature du père Desmolets, sous le titre de Lettre d’une dame à son fils sur la vraie gloire. Les Avis à sa fille allaient aussi paraître sans sa permission, lorsqu’elle se décida à donner une édition des deux opuscules en 1728.
Le prêtre ne paraissait plus sur l’échafaud pour consoler celui qui allait mourir : il n’y montait que pour mourir lui-même. […] On se demandait (ce que tout le monde se demandait alors) si sa conversion était aussi sincère qu’il le faisait paraître, et on résolut de l’éprouver. C’était le temps des mystifications, et on en imagina une qui parut de bonne guerre à cette vive et légère jeunesse. […] … » — « C’est-à-dire que tout ce qui vous paraît ici de plus merveilleux, c’est la prophétie. […] Thiers ; l’exemplaire était couvert de notes au crayon dont quelques-unes m’ont paru curieuses ; j’en citerai une qui concerne La Harpe.
Les terreurs que les deux femmes qui l’élevaient contradictoirement mêlaient à l’envi aux contes du coin du feu paraissent lui en a oir ôté tout le charme, et on ne voit jamais trace chez lui d’un tendre regard en arrière vers les années de son enfance. […] Des circonstances heureuses avaient habitué ma jeunesse à l’étude ; j’avais pris le goût, la passion même de l’instruction ; mon fonds me parut un moyen nouveau de satisfaire ce goût, et d’ouvrir une plus grande carrière à mon éducation. […] Ce Voyage en Égypte et en Syrie, qui parut en 1787, est son beau titre : faisons comme lui, examinons. […] Je n’ai donc point représenté les pays plus beaux qu’ils ne m’ont paru : je n’ai point peint les hommes meilleurs ou plus méchants que je ne les ai vus ; et j’ai peut-être été propre à les voir tels qu’ils sont, puisque je n’ai reçu d’eux ni bienfaits ni outrages. […] La partie de Jérusalem et de la Palestine est singulièrement écourtée chez Volney, qui ne voulait point, à l’époque où parut son Voyage, se faire de querelles, et qui se contentait de laisser percer ses opinions méprisantes.