La raison de cet insuccès me paraît assez simple. […] Et le problème nous parut valoir d’être scruté plus à fond. […] Le pays paraît soumis. […] Il nous paraît donc de toute inopportunité d’épiloguer sur cette matière spéciale. […] Dans ces conditions, il me paraît inutile d’espérer le salut de ce côté.
« Vivre m’est un ennui si lourd et si long que je ne cesse d’en implorer la fin par le désir infini de revoir celle après laquelle rien ne me parut digne d’être jamais vu ! […] Rien ne me paraît préférable à une vie solitaire et tranquille. […] Je me trouve assez riche ; faut-il encore que je paraisse tel aux yeux des autres ? […] Je n’approuve pas une solitude absolue : elle me paraît contraire à l’humanité ; mais à un homme de lettres, à un philosophe, peu de gens suffisent, parce que, à la rigueur, il pourrait se suffire à lui-même. […] Pour moi, j’en aurais beaucoup versé si je n’avais eu honte et si cela ne m’avait pas paru indécent à mon âge.
Mais Arioste, transportant son lecteur dans une loge de fou, et se complaisant à montrer son héros dans la sordide nudité d’une bête féroce, privée même de son instinct, nous paraît avoir commis une faute non-seulement contre le sentiment, mais contre le goût. […] Le bon sens y paraissait sous la forme d’une liqueur très subtile et très prompte à s’évaporer ; il était, en conséquence, renfermé dans une multitude de petites bouteilles, plus ou moins grandes. […] Léna tantôt souriait par complaisance pour le professeur, tantôt paraissait rêveuse suivre de l’œil sur la mer les fantômes du poète ou d’autres fantômes de son propre cœur. […] Cette longue lecture de l’Arioste et les milliers d’imaginations tendres et chimériques que cette lecture fait flotter dans l’esprit paraissaient avoir pris un corps et une âme dans sa pensée, mais quel corps et quelle âme ? […] « Tant que durera l’absence de M. d’Harcourt, vous devrez continuer à m’informer le plus fréquemment qu’il vous sera possible de tous les événements qui vous paraîtront mériter de fixer l’attention de la République.
La saine critique nie jusqu’à l’existence de Gersen, et la conformité de son nom avec celui de Gerson, chancelier de l’Université de Paris, paraît avoir été seule la cause ou l’occasion d’une attribution erronée. Mais un homme se présente qui, s’il n’a pas écrit l’Imitation, paraît avoir été seul capable de l’écrire. […] Ce crime le délivrait d’un ennemi, mais ne lui parut pas moins un crime. […] car tout désir ne vient pas de l’Esprit-Saint, quelque bon et juste qu’il paraisse à l’homme. […] Que rien de ce que vous faites ne vous paraisse donc quelque chose de grand.