Peut-être y créons-nous le dieu futur… » De pareilles pages, et elles sont nombreuses chez cet écrivain, peuvent glorieusement figurer parmi les plus belles de notre littérature française.
Il se demande en trois pages ce que signifient ces larmes.
L’Art de la Comédie, tome II, page 6.
Qu’est-ce d’ailleurs que ces pages qu’il livre ainsi, au hasard, au premier vent qui en voudra ?