Son père mourant l’avait confié à un savant nommé Olburge, pour l’élever dans la solitude jusqu’à cet âge.
J’eus une mère, enfant, un père, comme toi, J’eus une aïeule aussi qui cultivait ma foi, Bien-aimés que je pleure encore.
Le troisième acte devient admirable, lorsque, connaissant son mal et son sort, le lépreux attend dans la maison de son père le cortège funèbre qui va le conduire à la maison des morts, et l’impression finale est qu’on vient de jouir d’une œuvre entièrement originale et d’une parfaite harmonie.
Stéphane Mallarmé comme le prophète qui a révélé la bonne doctrine, et il l’appelle « père et seigneur de l’or, des pierreries et des poisons ».