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562. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article »

Il n’a cherché qu’à être utile ; & si son nom ne se trouve pas toujours à la tête de ses Ouvrages, qui ne sont que des Compilations, le Public ne doit pas ignorer qu’il lui a l’obligation de six Dictionnaires formant vingt-deux volumes. Nous ne garantissons pas la bonté de tous ces Ouvrages, que nous n’avons fait que parcourir dans l’occasion ; mais si la reconnoissance doit être proportionnée plus à l’étendue qu’au prix du bienfait, M.

563. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — O. — article » p. 434

Ses Ouvrages sont enterrés sous ceux qu’on a fait depuis dans le même genre, sort ordinaire des Livres élémentaires, bientôt effacés par ceux qui viennent après. Antoine Oudin, son fils, enseigna l’Italien à Louis XIV, & publia queques Ouvrages sur notre Langue, qu’on pourroit lire avec fruit, si nous n’en avions pas de meilleurs.

564. (1836) Portraits littéraires. Tome I pp. 1-388

Chose rare dans les ouvrages de ce genre ! […] Ses autres ouvrages ne seront connus dans cinquante ans que des bibliographes érudits. […] Ce premier ouvrage ne portait pas son nom ; peu d’années après la publication, un M.  […] La fable y est plus habilement et plus solidement nouée que dans les ouvrages précédents. […] C’est, après Pelham, le plus important ouvrage de l’auteur.

565. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 206

Quoiqu’on puisse soutenir quelques momens la lecture de plusieurs de ses Ouvrages, ils ne sont pas capables de lui faire une réputation, parce qu’ils sont foibles, & que la destinée des productions foibles est de se perdre dans la foule. Comme personne ne se doute peut-être dans quel genre il s’est exercé, nous apprendrons au Lecteur qu’il a fait des Traductions médiocres de plusieurs Ouvrages de Cicéron, & des Romans aussi médiocres que ses Traductions : le plus répandu de tous est l’Homme moral, faussement attribué à l’Abbé Prévôt, qui se seroit bien gardé d’en faire un pareil.

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