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1121. (1894) Propos de littérature « Chapitre III » pp. 50-68

* *   * L’énergie studieuse d’un artiste de la plastique porte sur deux objets principaux : la science des milieux lumineux (« couleur ») et celle des formes y contenues (« lignes »). […] La première représente l’objet par la plénitude de ses couleurs et de ses lignes dans la lumière ; la seconde affaiblit les reliefs de la couleur comme pour un lointain au profit d’amples lignes expressives et choisies, — savamment ordonnées.

1122. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre III. Grands poètes : Verlaine et Mallarmé, Heredia et Leconte de Lisle » pp. 27-48

Les uns, ne comprenant pas, croient l’objet obscur, et « font obscur ». […] À la vérité s’ils m’émeuvent davantage, c’est que la beauté de leur objet m’est plus familière, par les lyriques grecs et siciliens, et que ma sensibilité mieux avertie comprend mieux.

1123. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre VIII. Les écrivains qu’on ne comprend pas » pp. 90-110

La clarté peut presque se nombrer comme le rapport du sujet qui comprend à l’objet qui s’offre. Elle augmente avec la lucidité du sujet et l’évidence de l’objet.

1124. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre II. L’analyse interne d’une œuvre littéraire » pp. 32-46

Mais la couleur n’est qu’une des qualités que la vue peut saisir dans les objets. […] Puis, à quels objets se rapportent-ils ?

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