Il n’y a rien de nouveau ici depuis une quinzaine : on vit littérairement dans les salons sur ce méchant livre de Lamennais, et sur ce joli chapitre de Saint-Cyr.
» — « Pardonnez-moi, madame, quelquefois aux femmes. » (Nouveaux Lundis, tome IV, la Comtesse de Boufflers.
. — Nouvelles poésies (1880). — Les Souvenirs d’Anvers (1881). — Poèmes d’amour (1884). — Rimes de combat (1886). — À pleines voiles (1888). — Le Christ (1892). — Les Heures divines (1894)
C’est dire qu’on n’y trouve aucune des recherches nouvelles de rythmes et de consonances auxquelles force nous est de nous intéresser, puisque les gens de grand talent s’y emploient.