Et sur le vu de son nom et de son titre, vous le jugez apparemment burlesque. […] voilà quelques-unes des étiquettes que plusieurs critiques essayèrent de coller sur le nom de Renan. […] Nous inscrivons sur cette page les noms de quelques personnes, qui pourraient donner sur nous les renseignements nécessaires : M. […] Il est obligé d’écouter plus qu’il ne le voudrait ces sortes de gens que Molière appelait des « fâcheux » et que nous désignons d’un nom moins élégant. […] L’auteur des Noces corinthiennes sait donner à ses œuvres exquises des noms ironiques et charmants.
Je sais leur nom. […] Il donne de faux noms à ses émotions et il juge de la qualité objective des choses d’après ses émotions. […] Cette réalisation, c’est le bien, sous ses noms divers de beau, d’honnête, de sage, de juste. […] Le nom de M. […] Tant pis pour le monde, tant pis pour l’honorabilité, tant pis pour le nom de ma fille.
Je me vois l’esclave et le jouet de tous ceux qui devraient être non pas mes amis (Dieu me préserve de profaner ce nom en désirant même qu’ils le fussent !) […] Je l’ai appelé Jaman, du nom de son père, et je lui destine the most libéral éducation… « Je vous prie de m’envoyer le livre de M. […] (Il indique deux ou trois noms de femmes.) […] On sent trop qu’au fond il s’agit, en effet, d’une personne indéterminée, qui n’a pas de nom, ou qui peut en clianger, qui peut être aujourd’hui l’une et demain l’autre. […] Il est inutile de remarquer qu’il se trompe au moins pour quelques-uns de ces noms ; il subit l’influence des fausses informations dont on se repaissait à Brunswick ; il va tout à l’heure se rétracter.
voilà, pour le théâtre, les deux noms culminants du monde moderne ; accorder la supériorité à l’un des deux, ce serait convenir de l’infériorité de l’autre. […] Shakespeare passa bientôt au grade de garçon aboyeur, appelant par leurs noms les spectateurs distingués. […] Il ne fut pas heureux. « Mon nom, écrivait-il peu de temps avant sa mort, est diffamé, ma nature est avilie ; ayez quelque pitié pour moi, pendant que je bois le vinaigre. » Que d’hommes pourraient en dire autant ! […] Le mérite est comme le Nil, nul ne connaît sa source ; il suffit qu’il coule et qu’il féconde ; on boit ses eaux sans leur demander leur nom ; ouvrier ou grand seigneur, on est grand homme et c’est assez. […] Elmire est le nom de la femme d’Orgon ; madame Pernelle est sa mère ; Cléante, homme froid et judicieux, est son beau-frère ; Dorine est la suivante de Marianne, ancienne dans la maison à qui tout langage est permis.