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755. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Gabrielle d’Estrées. Portraits des personnages français les plus illustres du XVIe siècle, recueil publié avec notices par M. Niel. » pp. 394-412

Le Jeudi saint, après le dîner, elle alla entendre les Ténèbres en musique au petit Saint-Antoine.

756. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Froissart. — I. » pp. 80-97

N’est-ce pas lui qui dans son poème de Psyché, dans cet hymne à la Volupté, c’est-à-dire à la Plaisance, comme dirait Froissart, nous a confessé ses goûts divers : J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout : il n’est rien         Qui ne me soit souverain bien, Jusqu’aux sombres plaisirs d’un cœur mélancolique.

757. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Agrippa d’Aubigné. — I. » pp. 312-329

On y faisait de la musique, et aussi de la grammaire ; on y agitait des problèmes de langue, de versification ; on y comparait les styles, et d’Aubigné (dans un passage inédit, cité par M. 

758. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Œuvres inédites de P. de Ronsard, recueillies et publiées par M. Prosper Blanchemain, 1 vol. petit in-8°, Paris, Auguste Aubry, 1856. Étude sur Ronsard, considéré comme imitateur d’Homère et de Pindare, par M. Eugène Gandar, ancien membre de l’École française d’Athènes, 1 vol. in-8°, Metz, 1854. — I » pp. 57-75

La musique se mariait à ses vers ; on le chantait sur les instruments, et il devenait aussi populaire qu’il pouvait l’être : « Quand notre Mabile de Rennes, lit-on dans les Contes d’Eutrapel, chantait un lai de Tristan le Léonnais sur sa viole, ou une ode de ce grand poète Ronsard, n’eussiez-vous juré que celui-ci, sous le désespoir de sa Cassandre, se voulût confiner et rendre en la plus étroite observance et ermitage qui soit sur le Mont-Serrat ?

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