/ 1213
470. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Loutherbourg » pp. 258-274

Toutefois sans la facilité de trouver ce chant, cette espèce de musique, on n’écrit ni en vers ni en prose : je doute même qu’on parle bien ; sans l’habitude de la sentir ou de la rendre, on ne sait pas lire ; et qui est-ce qui sait lire ? Partout où cette musique se fait entendre, elle est d’un charme si puissant qu’elle entraîne et le musicien qui compose, au sacrifice du terme propre, et l’homme sensible qui écoute, à l’oubli de ce sacrifice.

471. (1920) Action, n° 4, juillet 1920, Extraits

La chronique de Duthuit, qui fait là son apparition, est essentiellement consacrée à la peinture, mais évoque également le cinéma, la musique et le théâtre, et se fait l’écho du Festival Dada, qui a eu lieu salle Gaveau (45, rue de la Boétie) le 26 mai 1920, dont Duthuit souligne le caractère décevant. […] La poésie de Dante redevient à la mode, de même Giotto, de même la vieille musique italienne.

472. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Première partie. Préparation générale — Chapitre VII. Éducation de la sensibilité »

On poursuit les métaphores musicales, quand on n’entend rien à la musique.

473. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre II. Distinction des principaux courants (1535-1550) — Chapitre III. Les traducteurs »

Par le Plutarque d’Amyot, des termes de politique, d’institutions, de philosophie, de sciences, de musique, ou sont entrés ou bien ont été définitivement implantés dans la langue française190.

/ 1213