Il ne faut pas multiplier inutilement les causes, ni, sous prétexte que la littérature est l’expression de la société, confondre l’histoire de la littérature avec celle des mœurs.
C’est peindre nos mœurs, etc.
me suis-je dit ; et je me suis répondu : Le goût est le sentiment du vrai, du beau, du grand, du sublime, du décent, de l’honnête dans les mœurs, dans les ouvrages d’esprit, dans l’imitation ou l’emploi des productions de la nature.
Elle consiste à observer dans son tableau ce que les italiens appellent il costumé ; c’est-à-dire à s’y conformer à ce que nous sçavons des moeurs, des habits, des bâtimens et des armes particulieres des peuples qu’on veut répresenter.