Il faudra que la Critique sérieuse de l’avenir compte avec ce Mauvais Garçon… Mort à l’âge où le talent n’est que le bouton entr’ouvert d’une rose qui aurait été délicieuse, si elle se fût épanouie, l’auteur du Myosotis aurait pu être pleuré par un Virgile, et ce n’est pas cependant une simple espérance que Virgile eût pleurée.
Milton, aveugle et pauvre comme Corneille, moins heureux par ses filles, qui furent mauvaises, paraît-il, comme nous venons de le dire au chapitre précédent, que Corneille par ses enfants, vécut la dernière partie de sa vie entre l’orgue dont il jouait et la Bible qu’on lui lisait.
Rien de plus simple, dans le plus mauvais sens du mot, et, comme vous le voyez, de plus vulgaire, que le prétexte à conversations et à récits, découvert par l’auteur des Amours d’Italie, et qui n’a d’autre originalité de détail que ces huit mille pieds innocents au-dessus du niveau de la mer dont M.
Procédé mauvais, du reste, contraire à l’art, et qui d’ailleurs n’est pas nouveau !