Royer-Collard, nous dit-on, a paru content ; c’est l’oracle en ces matières.
De l’effet désagréable et même répulsif, je l’avoue, de ce médaillon, il faudrait défalquer, avant tout jugement, ce qui revient en propre à la matière, à la cire en elle-même, dont le ton jaunâtre est celui de la mort.
C’est une loi de 1791 qui régit encore la matière.
Cette conception, assez nettement suivie, donne matière à des contrastes entre l’idéal et la réalité qui soutiennent l’intérêt.