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2747. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La comtesse de Boufflers (suite.) »

Je ne vous en parle qu’à la dernière extrémité ; mais, sachant à peu près ce que vous aviez, je juge que vous en devez manquer.

2748. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La comtesse de Boufflers (suite et fin.) »

Un volume entier où l’on recueillerait la suite de ses lettres à Jean-Jacques et de Jean-Jacques à elle, où l’on mettrait la Correspondance de Hume exactement traduite, celle de Gustave III que l’on ne saurait manquer de retrouver, ce serait là, au défaut de sa tombe inconnue, son véritable tombeau, tout littéraire comme elle, et son durable monument.

2749. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « La comtesse d’Albany par M. Saint-René Taillandier (suite et fin.) »

Il a succombé en six jours, sans savoir qu’il finissait, et a expiré sans agonie, comme un oiseau ou comme une lampe à qui l’huile manque.

2750. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Sismondi. Fragments de son journal et correspondance »

Déjà introduit dans le monde de Mme de Staël à Coppet, présenté par elle à tout ce qui y passait de distingué, l’accompagnant dans ses voyages d’Italie et d’Allemagne, Sismondi fut à même de développer dans tous les sens sa bonne, loyale et intelligente nature ; il ne put manquer aussi, grâce au frottement continuel, de s’y aimanter et de s’y aiguiser.

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