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1431. (1824) Préface d’Adolphe

J’ai voulu peindre le mal que font éprouver même aux cœurs arides les souffrances qu’ils causent, et cette illusion qui les porte à se croire plus légers ou plus corrompus qu’ils ne le sont.

1432. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Boucher » pp. 196-197

Sa Vierge mal drapée est sans caractère.

1433. (1912) L’art de lire « Chapitre I. Lire lentement »

Beyle lisait beaucoup des doigts, c’est-à-dire qu’il parcourait beaucoup plus qu’il ne lisait et qu’il tombait toujours sur l’endroit essentiel et curieux du livre. » Il ne faut pas penser trop de mal de cette méthode qui est celle des hommes qui sont, comme Beyle, des collectionneurs d’idées.

1434. (1898) Politiques et moralistes du dix-neuvième siècle. Troisième série

De tous nos maux secrets, c’est celui qui est le moins secret et en même temps le plus profond, et qui nous ronge jusqu’aux œuvres vives. […] Stendhal avait à placer une étude de l’amour de tête ; il l’a mal placée. […] Le paradoxe n’est qu’un jeu pour les simples hommes de lettres ; mais, dans le monde dont M. de Tocqueville était, il est fort mal porté et disqualifié. […] Il est à remarquer qu’il s’occupe peu d’histoire proprement dite, et qu’en vérité il la sait mal. […] En cet ordre de choses, sa création, un peu incohérente et mal réglée, mal surveillée, est indéfinie.

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