Ces trois ouvrages, écrits avec beaucoup de modération, pourroient être avoués par beaucoup de Catholiques, à l’exception néanmoins de quelques endroits, où une main protestante ne sauroit s’empêcher de faire connoître le parti qu’elle a embrassé.
Il faut que l’autorité dont jouit la conscience morale ne soit pas excessive ; autrement, nul n’oserait y porter la main et elle se figerait trop facilement sous une forme immuable.
Entre les mains de La Fontaine, ç’aurait pu être une fable charmante.
Renan lui a ôté le talent de peindre, car un peintre d’histoire est, hors des lettres ou dans les lettres, un grand artiste, et un grand artiste ne peut être un sceptique, un trembleur qui tremble de la tête et qui tremble de la main.