Il parlait contre les méthodes, contre les bibliothèques, les écoles et les académies ; il protestait contre l’abus et même contre l’usage de l’analyse : « Pour bien juger du spectacle magnifique de la nature, il faut en laisser chaque objet à sa place, et rester à celle où elle nous a mis. » Il voulait donc qu’on s’accoutumât à considérer les êtres en situation et en harmonie, non pas isolés et disséqués dans les cabinets et les collections des savants. […] Il ne se refuse à aucun rêve, pourvu que le rêve rentre tant soit peu dans ses vues, et il s’y livre désormais avec méthode à la fois et une sorte de délire : on est en plein dans le mysticisme de la nature.
Ils ne profitent pas des vérités ni des méthodes acquises. […] Leur doctrine porte l’empreinte de leurs facultés ; leur méthode manifeste leur genre d’esprit.
En obéissant à son goût naturel et réfléchi, M. de Latena cependant ne s’y est point laissé aller comme un simple amateur ; il n’a pas jeté au hasard et sans suite les remarques que lui suggérait l’étude de l’homme ou le spectacle de la société, et, sans enchaîner précisément toutes ses notes et ses aperçus dans une combinaison de chapitres se succédant avec méthode et transition, il a tenu à y établir un ordre général qui maintient la liaison des principales parties ; il a fait et voulu faire un ouvraget ; il a eu tout le respect du sujet qu’il traitait.
Il y a à l’heure qu’il est plus de neuf cents jésuites ou affiliés en France, leur méthode est autre que sous la Restauration ; ils avaient alors trois ou quatre grands centres pour appeler les regards et planter leur pavillon (Saint-Acheul, etc., etc.).