Quand par une triste journée de décembre, depuis les tranchées du bois Saint-Mard, j’ai aperçu au-delà des lignes allemandes les toits et les clochers de Noyon, comment n’aurais-je pas souffert de sentir souillée par le Barbare, la ville de Jean Calvin ?
Je ne sais si je me trompe, mais il me semble que quelques lignes que madame de Sévigné a jetées au hasard dans ses lettres, sans soin, sans apprêt, et avec l’abandon d’une âme sensible, font encore plus aimer M. de Turenne, et donnent une plus grande idée de sa perte.
Qui sait s’il ne germe pas déjà dans le cerveau de l’un de vous, jeunes amis inconnus à qui j’adresse ces lignes ? […] Que ces délicats veuillent bien méditer ces lignes suggestives : (p. 89). […] Ruchonnet, à qui j’avais offert mon livre, m’écrivait à propos de ce travail les lignes suivantes : Berne, 16 avril 1888. […] En Suisse, sur une ligne de quarante lieues, je compte quatre Universités prospères (Genève, Lausanne, Fribourg et Berne) et mal venu serait celui qui proposerait à l’une ou à l’autre de disparaître. […] Est-ce qu’une ligne de chemin de fer, créée dans un pays peuplé, ne crée pas des voyageurs ?
Plus de ces « récits rétrospectifs » devenus des clichés sur l’enfance, l’adolescence, l’éducation, et qui marquent trop les lignes. […] Aux dernières pages de son livre nous lisons ces lignes qui en sont comme la conclusion ; il y est parlé du caractère individualiste de l’art de Wagner : « Mais toi, qu’as-tu vu sur la prairie, regard de Gundry ? […] Il aurait goûté ces lignes de la préface des Chauves-Souris : « Le recueil représente une concentration du mystère nocturne, ainsi l’insinue son assimilation au Zaïmph dont puisse-t-il revêtir obscurément l’appellation poétique et la formule descriptive ! […] Le paysage est indiqué à grands traits, sans qu’on tienne compte des détails du dessin et des accidents de la couleur, réduit à ses lignes essentielles, présenté par larges plans d’ombre et de lumière. […] À chaque ligne reviennent des termes qui expriment un enthousiasme sans mélange.