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923. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Abailard et Héloïse »

Malgré des malheurs très réels, je ne sache rien de moins touchant que ces deux êtres, et malgré les efforts qu’ils font pour introduire dans l’amour la haute philosophie et la littérature, je ne sache rien de plus ennuyeux et de plus pédant que leur langage.

924. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XIX. Abailard »

Malgré des malheurs très réels, je ne sache rien de moins touchant que ces deux êtres, et malgré les efforts qu’ils font pour introduire dans l’amour la haute philosophie et la littérature, je ne sache rien de plus ennuyeux et de plus pédant que leur langage.

925. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXVI. Médecine Tessier »

Médecine Tessier28 [Le Pays, 4 février 1856] I Les Études de médecine, dont M. le docteur Tessier a publié la première partie, sont, avant tout, un livre de discussion ardente, sous des formes sévères, une polémique corps à corps et mortelle contre des hommes célèbres et des doctrines malheureusement professées ; mais cette discussion est, en bien des points, si détaillée et si spéciale, le langage qui l’exprime est d’une propriété si technique et si profonde, qu’au premier abord elle semblait, par cela même, échapper à notre examen.

926. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXXII. L’Internelle Consolacion »

Il aime les langages étranges et étrangers, et cette voix de moine en était une, par son calme même.

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