, laisse l’esprit à peu près tel qu’elle l’a trouvé, sans modifications intérieures, — les seuls enseignements que les hommes subissent et que les livres puissent donner.
Il s’assied dans un coin entre deux dates et y étouffe l’histoire, mais l’histoire a une voix et ne se laisse pas étouffer.
Henri IV, qui a laissé dans l’histoire deux paroles à travers lesquelles on l’a vu jusqu’ici, — et pas très beau : — « Je vais faire, ma mie, le saut périlleux !
… Je sais bien que l’esprit français, l’esprit de la race, s’était laissé entamer bien avant l’avènement de Gœthe par l’idée protestante et philosophique dont l’Allemagne moderne et Gœthe sont sortis.