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285. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. H. Wallon » pp. 51-66

Wallon nous les dit toutes les deux de front, allant de l’une à l’autre, un peu troublé, dans son sens moderne, de ce qu’il voit dans l’une, à côté de son admiration pour l’autre… Infirmité qu’on appellera du nom qu’on voudra, mais qui invalide une histoire dans laquelle il n’y avait aucune précaution à prendre, et pas autre chose que des admirations intégrales et sans aucune réserve à fièrement et chaleureusement affirmer !

286. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Madame de Sabran et le chevalier de Boufflers »

Rappelez-vous les quelques pauvres billets de Madame de Staël et de Madame Récamier, — lesquels n’étaient dignes ni de l’une ni de l’autre. […] L’une est le printemps épistolaire du xviiie  siècle ; l’autre en est l’automne.

287. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Nicolas Gogol »

Il a de l’humour et de l’observation, ce n’est pas douteux, mais il n’a assez de l’une ni assez de l’autre pour avoir une personnalité dans l’une ou dans l’autre.

288. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Honoré de Balzac » pp. 1-15

Buloz, passée dans la manche d’un lauréat d’académie, pour rendre plus solennels les coups que l’on veut porter à l’une des plus grandes gloires littéraires du dix-neuvième siècle ? […] C’est double profit, on tire deux moutures du sac d’un homme : l’une de son écritoire, l’autre de son cercueil.

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