Les souffrances iniques qu’il fait subir à ses victimes les plus pures seront donc l’éternelle récrimination des classes l’une contre l’autre ? […] En quoi le sang de l’une lave-t-il le sang de l’autre ?
— Suivez mon doigt de l’œil, dit le jeune homme : vous voyez ici le château de Monceau, là la route de Mâcon se diviser en deux ; l’une continue dans la vallée basse. […] À chaque instant le courage manquait à l’une de nous.
Élisabeth avait à choisir entre deux politiques : l’une magnanime qui consistait à accueillir et à relever sa cousine vaincue ; l’autre, franchement ennemie, qui consistait à profiter de ses revers et à la détrôner une seconde fois, par son éclatante réprobation ; elle en choisit une troisième, indécise, dissimulée, caressante en paroles, odieuse en actions, laissant tour à tour l’espérance ou le désespoir, user dans l’attente le cœur de sa rivale, comme si elle eût voulu charger la douleur, l’angoisse et le temps d’être ses bourreaux. […] Quel spectacle pour l’histoire, que celui de ces deux reines, s’avilissant à l’envi dans ces rixes acharnées où l’une provoquait le supplice, où l’autre le tenait vingt ans suspendu sur la tête de sa rivale !
Le plus grand danger pour le christianisme ne venait pas des libertins, mais des sceptiques à deux faces, l’une tournée vers les croyants et qui leur sourit, l’autre tournée vers les incrédules et qui ne les décourage pas. […] Je fais cas de l’une et l’autre main.