Il ne conseillait plus au peuple ni la guerre ni la résistance ; mais il racontait en vers les traditions de l’île Atlantide, cette contrée bien lointaine, si elle n’est fabuleuse, où déjà les sages plaçaient la justice et la liberté, qu’ils n’espéraient plus auprès d’eux.

S’il nous est dur de survivre à ceux que nous avons aimés, vivons du moins, comme hommes, pour nos concitoyens, mais, comme magistrat, vivons pour le prince et pour la justice, car              La Justice, le glaive en main. […] De même donc que les rois sont rois pour faire régner entre les hommes, par des moyens dont le choix et l’application n’appartiennent qu’à eux, la justice, la paix, et la prospérité ; de même, Dieu, par des voies qui nous sont cachées, conduit le monde à des fins également dignes de sa justice, de sa puissance, et de sa bonté. […] Et, tel sermon Sur les devoirs des rois ou Sur la justice, quelle en est l’idée intérieure et profonde ? […] Nous le savons mieux que Bayle, si nous le savons par une plus longue expérience, et combien il est rare que les grands courants se déterminent dans le sens de la justice et de la vérité ! […] S’il l’avait perdue pour toujours, cela même ne devrait pas dispenser la critique et l’histoire de lui rendre la justice qu’elles doivent à tous ceux dont l’influence, pour avoir cessé de se faire sentir, n’en a quelquefois été que plus considérable en leur temps.

Je devins, à cause de lui, un lecteur fidèle du journal la Justice. […] Gustave Geffroy fut le secrétaire de la rédaction de la Justice. […] L’autre consiste à réagir contre les vices de ce milieu, à se rebeller contre la tyrannie de ce qui est laid, bête et méchant, à introduire dans le réel, tous les jours, un peu d’harmonie, de justice, de charité. […] — Mais tant pis pour la justice et la vérité ! […] En 1515, un parti, « qui pouvait passer alors pour le parti national », désirait l’ordre dans les finances, la régularité dans l’administration et dans la justice, la discipline dans l’armée, la dignité dans nos relations avec les peuples étrangers.

Ils ont des préjugés cruels, un pharisaïsme inique, et pourtant aucun peuple ne possède un tel amour de la justice, et dans aucun pays il ne se commet moins d’iniquités. […] Ces facultés d’appréciation féminine ne conviennent pas à cette race virile ; ils n’ont d’autre moyen d’appréciation que les actes et les œuvres accomplis ; mais alors la supériorité de leur jugement se révèle, ainsi que leur grand esprit de justice. […] La génuflexion avait été l’attitude habituelle de leurs sujets, et l’échafaud avait fait justice de toutes les têtes qui ne se courbaient pas ou qui, s’étant courbées, avaient essayé de se redresser. […] Puisse Dieu émouvoir votre âme en ma faveur et lui conseiller de m’aider à obtenir justice ! […] Il y a un vrai plaisir à rendre cette justice au pauvre Laurence ; on a tant de raisons d’être sévère pour lui !