Un esprit porté à ne juger, à ne sentir qu’en fonction de la beauté est naturellement compréhensif.
Il ne crut pas humiliant d’être, à Charlemagne, un élève correct, non plus qu’il ne jugea superflu de devenir, à Carnavalet, un assidu bibliothécaire.
Elle s’en souciera comme d’une guigne, cela est dans l’ordre des choses, mais de tels exemples ne sont jamais complètement perdus, car il y a, en bas, toute une poussée d’esprits neufs et réfléchis — les générations de demain — qui comparent et qui jugent. » J’aurais, aujourd’hui, bien des choses à reprendre à cet article.
Si nous jugions uniquement d’après ce qui se passe de nos jours, nous pourrions affirmer qu’une certaine façon de concevoir l’art et le monde dure environ trente-cinq ou quarante ans.