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1147. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108

Elle fut détrompée de cette opinion quand elle se vit négligée par Mazarin ; elle jugea des vues et des espérances du cardinal par son refroidissement ; c’était à ses yeux un indice certain des progrès de la séduction exercée par Marie Mancini sur le jeune monarque.

1148. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIX » pp. 207-214

C’était encore un courtisan quand il disait, dans une dédicace, à la mère de cet enfant adultérin : Le temps qui détruit tout, respectant votre appui, Me laissera franchir les ans dans cet ouvrage, …………………………………………………         Sous vos auspices, ces vers         Seront jugés, malgré l’envie,         Dignes des yeux de l’univers.

1149. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 124-134

de la Beaumelle, que nous connoissons par quelques fragmens, & dont nous nous flattons que le Public jugera aussi favorablement que nous.

1150. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Jean-Baptiste Rousseau et M. de Voltaire. » pp. 47-58

On peut juger de celle où dût se livrer contre son ennemi, cette vipère qu’on disoit acharnée contre ses bienfaiteurs.

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