On nous pardonnera donc parfois la vivacité de nos jugements, notre ardente confiance.
C’est une imprudence que d’appliquer sans cesse son jugement à la partie aimante de son être, de porter l’esprit raisonnable dans les passions.
c’est toi que j’adore : c’est de toi, je le sens, que je suis l’ouvrage, et j’espère te retrouver au jugement dernier tel que tu parles à mon cœur durant la vie.
Si l’on en venait là, quels jugements seraient vrais en critique ?