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824. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Entretiens de Gœthe, et d’Eckermann »

Plaçant alors devant Eckermann deux volumes du Journal littéraire de Francfort, dans lequel il avait publié, très jeune, des articles de critique en 1772, 1773 : « Ils ne sont pas signés, dit-il, mais comme vous connaissez ma manière de penser, vous les distinguerez bien des autres. […] N’oublions pas sa belle-fille, Mme de Gœthe, Ottilie : elle lui sert volontiers de lectrice ; elle a fondé un Journal polyglotte à Weimar, le Chaos, où toute la société weimarienne écrit ; les jeunes gens anglais ou français qui y séjournent, surtout les dames, tout ce monde collabore et babille dans cette Babel, chacun dans sa langue.

825. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « Horace Vernet (suite.) »

Dans le journal l’Illustration, numéros des 5 et 12 avril 1850. — Les lettres sont données comme de simples fragments communiqués à l’Illustration par M.  […] Je trouve dans une de ses lettres du 22 octobre 1842, au retour d’un voyage qu’il venait de faire avec l’empereur, ce passage curieux et très significatif en ce qui est de la politique de ce temps-là : « J’ai dîné hier à l’ambassade en Irès-petit comité ; on s’y réjouissait des articles du Journal des Débats contre la Russie.

826. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Essai de critique naturelle, par M. Émile Deschanel. »

Voir dans le journal le Temps, du 5 juin 4864, un article signé Horace de Lagardie, sur le livre de M.  […] Ratisbonne et Young, dans deux articles spirituels du Journal des Débats (20 novembre 1861 et 7 décembre 1865), ont ajouté les quelques grains que je n’avais pas mis.

827. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. ULRIC GUTTINGUER. — Arthur, roman ; 1836. — » pp. 397-422

Nos journaux vous font peur ? […] Ainsi, dans la seconde partie, lorsque Arthur, après un court éloignement, après cette rencontre si mémorable et si simple du vieillard sous les oliviers près d’Avignon, revient à sa terre, l’embellit, s’ouvre de toutes parts à travers sa forêt, comme à travers ses souvenirs, des perspectives vers le ciel, et remercie à genoux l’Auteur de ces biens ; lorsqu’il nous donne le journal de ses promenades, l’extrait de ses lectures, comme un bouquet champêtre assorti pour la parure de l’autel le jour de la fête de la patronne ; lorsqu’il nous raconte un des derniers jours d’octobre, ou sa belle cathédrale de Rouen, ou le salut de la Sainte-Catherine, ou le gazon frais des calvaires, l’effusion abonde, la charité coule par ses lèvres, se répand sur tous, et l’éternel christianisme des âmes tendres rajeunit et multiplie ses plus chers accents.

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