Voyez-les, au travers des dialogues, marcher et jouer, beaux d’une hardie beauté, les jeunes hommes d’Athènes ! […] Maintenant l’âme ne cherchera plus d’autres jeux : elle se jouera délicieusement de sa douleur, elle redira mille fois la divine réponse. […] — les scènes qui là-bas sont jouées, parmi les décors variés, dans le royal théâtre où nous ne pouvons pénétrer. […] Le tour était joué ; nous admirions un homme capable de pensées si belles, et de ne les point croire ; mais nous avions entendu les pensées, et le tour était joué. […] Il jouait avec les loups, il racontait aux oiseaux de naïves légendes qu’il inventait pour leur plaire.
Mais certain bref ou certaine encyclique, lancée, il n’y a pas deux ans, contre la Franc-Maçonnerie dont il est un des chefs et des grands maîtres, lui fit monter la rougeur à la joue, à lui déiste sincère et qui abhorre les doctrines athées.
Il fit, sur cette victime infortunée, ces vers rendus par Amiot : Pour lamenter, son mal ne guérirai ; Ni, pour jouer, je ne l’empirerai.
Elle jouait sous un gros arbre à moitié descié près de la porte ; trois jolies petites filles et un tout petit garçon jouaient avec de la sciure de bois sur leur porte. […] On voyait d’abord une belle gorge remplie de troupeaux qui paissaient, tout à fait en bas, avec des enfants qui jouaient et des jeunes femmes qui tenaient leurs nourrissons sur leurs genoux. […] Quelques-uns avaient déjà fini leur ouvrage du soir ; ils jouaient sur la terrasse sous quelques tilleuls.