Albert Wolff Tenez, je voudrais avoir sous la main le manuscrit du Passant pour vous faire partager ma joie.
Seulement, si bien qu’il se tienne sous la garde de cette prudence en ces deux volumes qu’il offre au public, il a glissé, et en glissant, dans une toute petite phrase sur Fontenelle il a montré les parties honteuses de sa pensée : — « Fontenelle — nous dit-il — respecte tout COMME IL CONVIENT, mais, partout où il est passé, rien n’est resté debout. » Sentez-vous la joie ?
il tient pour elle et il tient pour ceux qui, dans son livre, annoncent son avènement avec joie.
Seulement c’est ce moment-là, ce moment expiateur, d’une joie suprême, que j’aurais voulu avancer !