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924. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Monsieur de Latouche. » pp. 474-502

Un mot d’innocence, de candeur première, faisait relater en lui le lire franc d’une joie retrouvée. […] Sa colère et son dédain étaient si grands quand il se détrompait d’un talent, d’une vertu, d’une beauté, dont la découverte et la croyance l’avaient rempli de tant de joie !

925. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1856 » pp. 121-159

C’est une joie encore étonnée, une stupeur, pour ainsi dire, de cet éboulement de bonheur. […] Dans ces temps, il y aura des endroits où des philtres vous épanouiront la rate, où avec je ne sais quoi, avec un gaz exhilarant, on vous remplira de gaieté pour quarante centimes, et où des garçons vous verseront par tout le corps une sorte de paix et de joie : une demi-tasse de paradis.

926. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1870 » pp. 321-367

Il est impossible d’exprimer la joie presque stupide que j’ai eue à retrouver ce cœur, auquel je ne croyais plus. […] * * * Vers le 26 mai Dans le passage galopant de tous ces landaus, de toutes ces calèches, de toutes ces victorias, dans tout ce luxe roulant, et jetant avec fracas, parmi la verdure, les couleurs voyantes de la mode de cette année, je suis frappé par la vue, au fond d’une de ces voitures, du rigide et noir costume d’une Sœur, c’est un rappel de la mort dans cette joie et cet éblouissement.

927. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Michelet » pp. 167-205

Comme cela ne lui va pas non plus, de vanter la joie, la grosse joie du bonhomme Luther, qui était, au fond, un sale homme ; de mettre Rabelais — ma foi !

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