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23. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Une monarchie en décadence, déboires de la cour d’Espagne sous le règne de Charles II, Par le marquis de Villars »

L’intérêt de don Juan était de retarder le mariage du jeune roi ; un premier mariage avec une archiduchesse avait déjà été rompu par lui. […] On attendait avec impatience la jeune reine. […] Au moment où la jeune arrivait, toutes les créatures de don Juan étaient encore en place, et elles essayèrent de s’y maintenir. […] » La jeune reine échappa d’abord au danger, au moins en partie, par son inexpérience même et par l’insouciance de son âge. […] La jeune reine vécut peu d’années dans cette vie d’étouffement et de réclusion, à laquelle elle semblait pourtant s’être si tôt accoutumée.

24. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Charles Nodier »

Le jeune Nodier suivit pourtant à Besançon les cours de l’École centrale et fut élève de M.  […] Essais d’un jeune Barde, 1804. […] Mais qu’est-ce, me dira-t-on, que les Aventures du jeune d’Olban ? […] Tout un jeune public, contre lequel tonnait La Harpe, y répondait : on a vu ailleurs que M.  […] On voit par combien de points vifs devaient se toucher d’abord le jeune secrétaire et le vieux maître.

25. (1860) Cours familier de littérature. X « LVIIIe entretien » pp. 223-287

» Mais je laisse avec confiance une si belle épopée à ce jeune espoir des poètes. […] Ô vers, ô jeunes fleurs, qui mêlaient leur couronne ! […] Le vieux manoir réunissait une nombreuse tribu de famille et d’amis de la famille, plusieurs jeunes nièces avec leurs petits enfants. […] Que le jeune poète ne s’y trompe pas : ce qu’il faut aux vers, ce n’est pas l’éloquence : c’est le charme. […] Que leur jeune ami, M. 

26. (1875) Premiers lundis. Tome III « Eugène-Scribe. La Tutrice »

La légataire universelle du feld-maréchal est une jeune chanoinesse du nom d’Amélie Moldaw, qui n’était pas même sa parente éloignée. […] La jeune voyageuse, sans se faire attendre, donne sa signature. — La chanoinesse Amélie de Moldaw ! […] Le jeune comte n’est pas parti, et il se trouve en présence de mademoiselle de Moldaw, qui, noble et généreuse, a été héritière malgré elle, et ne veut être que la tutrice du neveu de son bienfaiteur. […] Léopold, apprenant de Conrad, avant d’avoir vu Amélie, que la jeune chanoinesse est loin de mener une vie exemplaire, s’emporte et laisse, pour la première fois, voir assez clairement le fond de son cœur. Depuis quand le jeune comte de Vurzbourg est-il amoureux d’Amélie de Moldaw, qu’à la fin du second acte il maudissait et détestait avec une sorte de rage ?

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