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1827. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIe entretien. Vie du Tasse (1re partie) » pp. 5-63

aucune… Avec une haute intelligence, avec autant de prudence que de vertus et de charmes, elle était restée par suite de mon bannissement dans une sorte de veuvage sans parents ou avec des parents pires que des étrangers ; sans amis pour l’aider de leurs conseils dans l’adversité, en sorte qu’elle vivait dans un continuel état de crainte ou d’anxiété ; elle était jeune, elle était belle ; elle était si jalouse de son honneur que depuis mon exil elle avait souvent désiré d’être vieille et disgraciée de figure !

1828. (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXIIe entretien. La Science ou Le Cosmos, par M. de Humboldt (1re partie). Littérature scientifique » pp. 221-288

Le groupe des îles Canaries était devenu pour lui un livre instructif d’une richesse infinie, dont la variété, quoique dans un cercle étroit, devait conduire un génie comme celui de Humboldt à l’intelligence de choses plus étendues, plus générales.

1829. (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXVe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 321-384

tout ce qu’il y avait pour nous et pour eux de parenté, de souvenirs, d’amitié, de plaisir, d’intelligence entre ce treillage plus vieux que nous tous devant la maison.

1830. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXVIIIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 65-128

CLXXXVI À ces mots, le bargello revint sur ses pas pour sortir de la cour, et je crus que j’allais m’évanouir de contentement, car, s’il m’avait dit : Entre dans cette loge, et que Hyeronimo et moi, nous nous fussions vus ainsi tout à coup, devant le bargello, face à face, sans être d’intelligence avant cette rencontre, un cri de surprise et un élan l’un vers l’autre nous auraient trahis certainement.

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